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humeur

Chacun son style

Parler avec les tripes, vomir certains mots N’est pas de ma compétence, de mon ressort… Je ne vois pas l’intérêt d’énoncer tout haut Et de manière emphatique, le sordide, le gore… De la même façon, écrire ces maux là Ne sera pas plus imagé, juste plus...

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Dernière heure...

Quand le temps aura parcheminé mon corps, Qu’il ne restera que le souvenir, à raison ou à tort, Sous les rides, de la jeunesse et de la fermeté, Aurai-je le courage d’en rire sans en pleurer ? Quand la nuit de mon passage sera amorcée, Que le Soleil et...

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Le poids des maux

Au hasard de mes errances internetesques, je suis tombée un jour sur le blog d'une jeune anorexique. Pour une fois, je n'ai pas zappé, comme je fais habituellement, j'ai lu. Et j'ai été touchée par sa sincérité, par sa pudeur aussi... Ce qui a donné ce...

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Un port USB

Entre virtuel et réalité, Existe un monde que certains ignorent... Des deux, le second est nécessité, Le premier, lui, seulement prince consort. Le troisième, donc, entre ces deux-là, Se doit, comme un filtre salvateur, De surtout servir de révélateur,...

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S'il n'en reste plus qu'un...

Je ne me suis jamais vraiment penchée sur la première guerre mondiale alors que j’ai éclusé bon nombre de livres et de documents en tout genre sur la seconde. Pourquoi cette entrée en matière ? Parce que l’avant-dernier Poilu, Louis de Cazenave , est...

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Virtuel, entre danger et exutoire?

(c'est de la faute à Quichottine si je vous parle de ça...) Le net comme la vie, réserve des surprises de taille. Mais finalement n’est-ce pas normal si l’on considère que derrière chaque clavier, chaque écran, chaque connexion, se trouve un être de chair...

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Il y avait le politiquement correct...

Il y avait le politiquement correct, il y a aujourd’hui le cyniquement établi. Entre les rebelles à deux balles qui se la jouent grand seigneur (saigneur ?) neuronal et qui nous bassinent avec LEUR liberté d’expression (« Nan, mais t’vois, j’ai le droit...

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Une vie ne vaut rien...

Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie… Où es-tu Malraux, à l’heure de leurs folies ? Qui se lèvera, chez nos gouvernants coincés, Pour que cesse le feu de ces dégénérés ? Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie… Qu’elle soit au nom d’une...

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Elle...

Son sang est noir, ou bleu, ou vert, ou rouge même… Ses veines se dessinent au fur et à mesure qu’avance l’arme qui sillonne sa peau immaculée, au gré de sa fantaisie tour à tour sadique, colérique, tendre… Même caressante, la lame laisse des sillons...

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