Il plume.
Il neige.
On est début mars, et il neige.
A croire que les saisons sont devenues folles, ma bonne dame ! Parce qu’en plus, il neige à gros flocons ! On dirait des plumes. Peut-être que Dieu, sur son nuage, fait une bataille de polochons. Faudrait penser à lui rappeler que ce n’est pas l’époque ! Normalement, il devrait simplement nous inonder d’un soleil froid, certes, mais au moins lumineux ! Avec quelques giboulées, de ci, de là, mais sans plus ! De quoi faire bourgeonner un peu les lilas et les primevères, par exemple…
Ben non. A la place, il a mis un grand drap même pas vraiment blanc au-dessus de nos têtes, et il fait une bataille d’oreillers. Avec qui ? On se demande… Les anges ? Remarquez, ça expliquerait qu’il plume. Enfin, qu’il neige. Mais ça voudrait dire aussi qu’au Paradis, il fait super froid. Ce qui tombe relativement mal puisque je n’aime pas le froid. Pas plus que je n’aime le chaud cela dit. Mais la question n’est pas là.
Il neige.
D’un autre côté, je me demande si ce n’est pas un coup d’une de nos listes concurrentes. Ils feraient la pluie et… heu… la neige, que ça ne m’étonnerait pas ! Parce qu’évidemment, on n’a pas vu l’ombre d’un flocon depuis des lustres, et il faut qu’il en tombe aujourd’hui, alors que ce soir, nous devons distribuer dans les boîtes aux lettres notre dernier communiqué pour les élections municipales. C’est un coup à attrapper la mort ça ! J’imagine bien les infos de dimanche : « Suite aux intempéries subites de cette semaine, les candidats sont tous hors d’état (de nuire ?)(rhooooooo humour, hein !), et les électeurs se posent de multiples questions quant à la pérennité de leur droit (ou devoir, c’est selon) de vote… Espérons que le second tour nous permettra d’y voir plus clair. »
En tout état de cause, ce soir, en faisant office de factrice, je vérifierai qu’il n’y a pas de canons à neige caché quelque part. Sait-on jamais…
On est début mars, et il neige.
A croire que les saisons sont devenues folles, ma bonne dame ! Parce qu’en plus, il neige à gros flocons ! On dirait des plumes. Peut-être que Dieu, sur son nuage, fait une bataille de polochons. Faudrait penser à lui rappeler que ce n’est pas l’époque ! Normalement, il devrait simplement nous inonder d’un soleil froid, certes, mais au moins lumineux ! Avec quelques giboulées, de ci, de là, mais sans plus ! De quoi faire bourgeonner un peu les lilas et les primevères, par exemple…
Ben non. A la place, il a mis un grand drap même pas vraiment blanc au-dessus de nos têtes, et il fait une bataille d’oreillers. Avec qui ? On se demande… Les anges ? Remarquez, ça expliquerait qu’il plume. Enfin, qu’il neige. Mais ça voudrait dire aussi qu’au Paradis, il fait super froid. Ce qui tombe relativement mal puisque je n’aime pas le froid. Pas plus que je n’aime le chaud cela dit. Mais la question n’est pas là.
Il neige.
D’un autre côté, je me demande si ce n’est pas un coup d’une de nos listes concurrentes. Ils feraient la pluie et… heu… la neige, que ça ne m’étonnerait pas ! Parce qu’évidemment, on n’a pas vu l’ombre d’un flocon depuis des lustres, et il faut qu’il en tombe aujourd’hui, alors que ce soir, nous devons distribuer dans les boîtes aux lettres notre dernier communiqué pour les élections municipales. C’est un coup à attrapper la mort ça ! J’imagine bien les infos de dimanche : « Suite aux intempéries subites de cette semaine, les candidats sont tous hors d’état (de nuire ?)(rhooooooo humour, hein !), et les électeurs se posent de multiples questions quant à la pérennité de leur droit (ou devoir, c’est selon) de vote… Espérons que le second tour nous permettra d’y voir plus clair. »
En tout état de cause, ce soir, en faisant office de factrice, je vérifierai qu’il n’y a pas de canons à neige caché quelque part. Sait-on jamais…