Starac…olage
Starac…olage
Brel et Brassens se succèdent en boucle
Emplissant mes sens de leur verve entourloupe
Bien loin de la mode et du sacro saint look
De notre ère de star Ikéa et son souk…
Un certain Coluche, il y a déjà vingt ans
Dénonçait avec son humour si décapant
La main mise des média radiophoniques
Qui passaient les mêmes airs, systématiques…
L’époque de ces vedettes préfabriquées
Pour un panel de neurones anorexiques,
Me révulse de les voir si pathétiques,
Face à ces inepties, regard vide, éventé…
C’est l’intelligence, la vraie, qu’on assassine,
Celle qui vient du cœur et de l’envie de savoir,
La culture qui permet une aptitude fine,
De ne pas se perdre dans l’illusion de voir…
Pour d’apprentis chanteurs, la vie de château,
Certains parents, eux, font appel à un héros,
Tandis que se déchirent des couples en crise,
Tout cela bien sûr à grand renfort de prises…
Comment faire éviter à nos enfants le sort,
Somme toute pitoyable et abrutissant,
De tous ceux qui ont pour Dieu le petit écran,
Et s’agenouillent devant un palpable veau d’or ?
Au nom des taux d’audience, indice d’écoute,
Publicité lassante et répétitive,
On nous impose une télé laxative,
Dont la réalité ne laisse pas un doute…
Faut-il donc, pour que se complaisent les masses,
Oublier qu’un peu de culture générale,
Sans mesure avec ces émissions si crasses,
Est nécessaire à l’évolution neuronale ?
A moins qu’il ne s’agisse d’une volonté,
Celle qui veut que le savoir est toujours pouvoir,
Et que pour être certains de le préserver,
Nos dirigeants, eux, préfèrent s’en prévaloir…
Brel et Brassens se succèdent en boucle
Emplissant mes sens de leur verve entourloupe
Bien loin de la mode et du sacro saint look
De notre ère de star Ikéa et son souk…
Un certain Coluche, il y a déjà vingt ans
Dénonçait avec son humour si décapant
La main mise des média radiophoniques
Qui passaient les mêmes airs, systématiques…
L’époque de ces vedettes préfabriquées
Pour un panel de neurones anorexiques,
Me révulse de les voir si pathétiques,
Face à ces inepties, regard vide, éventé…
C’est l’intelligence, la vraie, qu’on assassine,
Celle qui vient du cœur et de l’envie de savoir,
La culture qui permet une aptitude fine,
De ne pas se perdre dans l’illusion de voir…
Pour d’apprentis chanteurs, la vie de château,
Certains parents, eux, font appel à un héros,
Tandis que se déchirent des couples en crise,
Tout cela bien sûr à grand renfort de prises…
Comment faire éviter à nos enfants le sort,
Somme toute pitoyable et abrutissant,
De tous ceux qui ont pour Dieu le petit écran,
Et s’agenouillent devant un palpable veau d’or ?
Au nom des taux d’audience, indice d’écoute,
Publicité lassante et répétitive,
On nous impose une télé laxative,
Dont la réalité ne laisse pas un doute…
Faut-il donc, pour que se complaisent les masses,
Oublier qu’un peu de culture générale,
Sans mesure avec ces émissions si crasses,
Est nécessaire à l’évolution neuronale ?
A moins qu’il ne s’agisse d’une volonté,
Celle qui veut que le savoir est toujours pouvoir,
Et que pour être certains de le préserver,
Nos dirigeants, eux, préfèrent s’en prévaloir…